Flyers sur voitures

Williams Brown

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Ah, distribuer des flyers sur des voitures. Beaucoup pensent que c’est simple : tu prends un tas de papiers, tu marches, et hop, tu les glisses sous les essuie-glaces. Facile, non ? Eh bien, laissez-moi vous dire que c’est tout un art. Oui, un art que j’ai eu l’honneur (ou le fardeau, c’est selon) de pratiquer à plusieurs reprises. J’ai des anecdotes à partager !

Tout a commencé un matin pluvieux – classique, sinon c’est pas drôle. Premier obstacle : trouver un endroit sec sous les essuie-glaces. Spoiler alert : ça n’existe pas. Alors là, j’ai découvert que, quand un flyer mouillé sèche, ça fusionne littéralement avec le pare-brise. Un vrai collage artistique. Les propriétaires ont dû se demander si c’était un concept de street art avant de râler en grattant les restes…

Ensuite, il y a eu l’épisode de la voiture déjà saturée de flyers. Vous savez, quand vous approchez une voiture et qu’il y a déjà une pile de prospectus qui pourrait remplir un petit livre. Le dilemme : dois-je ajouter mon flyer au monticule ou abandonner ? Evidemment, je l’ajoute. Mais je le fais avec soin, comme si j’apportais la touche finale à une œuvre d’art.

Et puis, il y a les voitures de luxe. Ah, celles-là, c’est les meilleures. Tu t’approches tout doucement, tu te demandes si tu ne devrais pas laisser un petit mot d’excuse avec le flyer, style : « Désolé de gâcher l’esthétique de votre Audi avec ce bout de papier, mais la cause est bonne ! » Spoiler alert : personne ne te remercie pour ton tact.

Un jour, j’ai été surpris par le propriétaire d’une voiture en plein acte. Le gars me regarde glisser mon flyer sous son essuie-glace, et moi, je suis là, avec mon sourire de ‘je fais juste mon boulot’. Il m’a regardé comme si je venais de vandaliser sa voiture. Je lui ai expliqué que c’était pour une collecte de fonds. Il m’a répondu que la seule collecte de fonds qu’il ferait, c’est pour enlever tous les flyers de son pare-brise.

Bref, être distributeur de flyers, c’est plus qu’un job, c’est une aventure. C’est une lutte contre les éléments, les regards suspicieux des passants, et les voitures qui te narguent avec leurs pare-brises déjà surchargés.

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